E.Leclerc Réunion
Gestion de crise sanitaire
Emma Mag s’est intéréssé à la gestion de la crise sanitaire dans les com- merces de l’île et au ressenti des employés pendant le confinement. Comment les caissières d’une grande surface ont pu appréhender le confinement ? Comment se sont déroulées les différentes étapes pour gérer au mieux les questions sanitaires ? Emmanuella PICARD, hôtesse de caisse, Jeffrey HOAREAU, Chef de caisse adjoint et M. Jean Pascal CLÉMANCEAU, DIRECTION DE L’HYPER- MARCHÉ E.LECLERC BUTOR SAINTE-CLOTILDE, ont bien voulu répondre à toutes nos interrogations.
Comment s’est passé le confinement pour vous personnellement ?
Le Directeur : « ça a été une période particulièrement exceptionnelle, riche en rebondissements et en adaptations. Le maître mot a été « adaptation » en permanence. » L’hôtesse de caisse: « il n’y a pas eu de difficulté pour le transport pour se rendre sur le lieu de travail. Il a fallut s’organiser pour la garde des enfants, avec la peur quand même de contaminer notre famille en allant au travail. Mais il fallait travailler. »
Le chef de caisse adjoint : « Il a fallu s’adapter pour la garde des enfants car ma femme et moi travaillions, il y eu la fermeture des crèches ; heureusement un membre de la famille a pu se rendre disponible, en arrêtant son activité pour garder mon enfant. Il fallait donc déposer mon enfant chez la mamie, c’était un risque à prendre sans quoi nous n’aurions pas pu, ma femme et moi-même, continuer notre activité.
Le Directeur : « L’ambiance était sereine, tout s’est fait dans le calme. »
C’était comme une mission, de continuer à être présents pour rendre un certain service, alimentaire, aux gens. De plus, nous l’avons fait dans un esprit d’équipe pour que nous tous, nous puissions nous soutenir entre collègues. Un esprit de solidarité pour tous s’est mis en place. »
Comment vous êtes-vous adaptés à ces changements ?
Le Directeur : « On a créé des groupes de travail, on a suivi des directives données et on a pris des initiatives pour la protection de nos salariés, car nous avons été les premiers a proposer le masque, installation en priorité du plexiglas de protection au niveau des caisses. » L’hôtesse de caisse et Le chef de caisse adjoint : « Il y avait moins d’embouteillage et comme les entrées étaient filtrées c’était plus accessible pour nous le personnel de E.LECLERC. Ça a été même un avantage pour nous. On a pu travailler dans la sérénité, et en sécurité. L’équipe a bien été encadrée »
C’était comme une mission, de continuer à être présents pour rendre un certain service, alimentaire, aux gens. De plus, nous l’avons fait dans un esprit d’équipe pour que nous tous, nous puissions nous soutenir entre collègues. Un esprit de solidarité pour tous s’est mis en place. »
Comment vous êtes-vous adaptés à ces changements ?
Le Directeur : « On a créé des groupes de travail, on a suivi des directives données et on a pris des initiatives pour la protection de nos salariés, car nous avons été les premiers a proposer le masque, installation en priorité du plexiglas de protection au niveau des caisses. » L’hôtesse de caisse et Le chef de caisse adjoint : « Il y avait moins d’embouteillage et comme les entrées étaient filtrées c’était plus accessible pour nous le personnel de E.LECLERC. Ça a été même un avantage pour nous. On a pu travailler dans la sérénité, et en sécurité. L’équipe a bien été encadrée »
L’hôtesse de caisse et Le chef de caisse adjoint : « L’ambiance était conviviale même si nous ne nous faisions pas la bise, on se disait « bonjour » verbalement ou on se faisait un signe de la main. Ça a été une période sereine.
Au niveau des clients, c’était plus compliqué car à cause du masque on ne voit plus les sourires, parfois il n’y avait pas de bonjour, on sentait la méfiance et la peur, un certain stress chez les clients. »
C’était comme une mission, de continuer à être présents pour rendre un certain service, alimentaire, aux gens. De plus, nous l’avons fait dans un esprit d’équipe pour que nous tous, nous puissions nous soutenir entre collègues. Un esprit de solidarité pour tous s’est mis en place. »
Comment vous êtes-vous adaptés à ces changements ?
Le Directeur : « On a créé des groupes de travail, on a suivi des directives données et on a pris des initiatives pour la protection de nos salariés, car nous avons été les premiers a proposer le masque, installation en priorité du plexiglas de protection au niveau des caisses. » L’hôtesse de caisse et Le chef de caisse adjoint : « Il y avait moins d’embouteillage et comme les entrées étaient filtrées c’était plus accessible pour nous le personnel de E.LECLERC. Ça a été même un avantage pour nous. On a pu travailler dans la sérénité, et en sécurité. L’équipe a bien été encadrée »
C’était comme une mission, de continuer à être présents pour rendre un certain service, alimentaire, aux gens. De plus, nous l’avons fait dans un esprit d’équipe pour que nous tous, nous puissions nous soutenir entre collègues. Un esprit de solidarité pour tous s’est mis en place. »
Comment vous êtes-vous adaptés à ces changements ?
Le Directeur : « On a créé des groupes de travail, on a suivi des directives données et on a pris des initiatives pour la protection de nos salariés, car nous avons été les premiers a proposer le masque, installation en priorité du plexiglas de protection au niveau des caisses. » L’hôtesse de caisse et Le chef de caisse adjoint : « Il y avait moins d’embouteillage et comme les entrées étaient filtrées c’était plus accessible pour nous le personnel de E.LECLERC. Ça a été même un avantage pour nous. On a pu travailler dans la sérénité, et en sécurité. L’équipe a bien été encadrée »
L’hôtesse de caisse et Le chef de caisse adjoint : « L’ambiance était conviviale même si nous ne nous faisions pas la bise, on se disait « bonjour » verbalement ou on se faisait un signe de la main. Ça a été une période sereine.
Au niveau des clients, c’était plus compliqué car à cause du masque on ne voit plus les sourires, parfois il n’y avait pas de bonjour, on sentait la méfiance et la peur, un certain stress chez les clients. »
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