La science permet de retomber amoureux : 7 conseils pour y parvenir  

Les découvertes scientifiques les plus récentes permettent de retrouver l’euphorie des premières fois. Très efficace, paraît-il !

Quels sont les mécanismes de l’attachement ? Il semblerait que comme toutes les espèces, ce serait juste une question d’hormones, de phéromones et de neurotransmetteurs. 

Que se passe-t-il dans le cerveau quand on tombe amoureux ? Notre cerveau active des zones spécifiques, hippocampe pour la mémoire, amygdale pour appréhender l’autre de manière positive et le centre de récompense qui libère des endorphines. Quand on est amoureux, on n’est donc pas dans notre état normal. Un état comme addictif qui ne dure pas, une illusion merveilleuse qui s’efface peu à peu, précise la science.

Alors, comment influencer nos neurones pour prolonger notre état amoureux et continuer à plaire à l’autre ? C’est le changement de nos comportements qui va modifier la biologie de notre cerveau et améliorer la compatibilité entre notre amoureux et nous. En fait, il suffirait de réaliser un travail sur nous-même pour construire le couple que nous souhaitons. 

Voici quelques recettes simples pour y parvenir :

– Pour un hypothalamus au top, prêt à réagir à la sensualité et aux hormones de l’amour, soigner son hygiène de vie. 

– Pour réveiller l’hippocampe, cultiver les souvenirs heureux et retourner sur les lieux de vos amours 

– Pour aligner vos neurones avec l’autre et le comprendre instinctivement, demander à votre amoureux de vous raconter sa journée.

– Pour agir sur les différents cortex sensoriels, dont l’ocytocine, faite le plein de bisous, câlins et autres massages, le tout en musique.

– Pour que l’amygdale continue à apprécier de manière positive votre amoureux, lui sourire souvent, lui faire des compliments, le valoriser.

– Pour doper le circuit de la récompense, place aux nouveautés, aux surprises, aux dîners en tête à tête et aux cadeaux. 

– Pour consolider le circuit de l’attachement, dites-lui des mots d’amour et faites-le.